Ce 2 juillet, Mme Antoinette KEBI a reçu les femmes des coopératives de Brazzaville, ces dernières ont soulevé les problèmes qu’elles rencontrent, notamment les difficultés d’accès aux principaux facteurs de production dont le foncier ; l’eau et le crédit ; dans le cadre de la petite agriculture.
L’activité des groupements coopératifs est généralement invisible, c’est-à-dire peu reconnue ou valorisée au sein de la société. Cela tient en grande partie à leur relative exclusion de la sphère monétaire et marchande. Mais, leur contribution à l’économie nationale, leur a été rappelée par la secrétaire exécutive du conseil consultatif de la femme, Antoinette KEBI.